Des crèches privées contraintes de fermer = moins de places pour nos enfants
Depuis 2022, les crèches privées doivent s’aligner sur les conditions d’emploi des crèches municipalisées de la Ville de Genève, alors même qu’elles ne sont pas subventionnées. Cette situation empêche toute flexibilité dans l’engagement des collaborateurs des crèches privées qui de facto doivent s’alignent sur les conditions des fonctionnaires de la Ville. Ceci a mené à la fermeture de plusieurs crèches et limite l’ouverture de nouvelles structures alors qu’il manque actuellement 3200 places dans le Canton !
Les crèches privées ont fait leurs preuves
La crèche est le mode d’accueil le plus utilisé et le plus sollicité par les familles pour concilier vie professionnelle et familiale. Les crèches privées, de par leur flexibilité, peuvent offrir des prises en charges spécifiques que les structures municipalisées uniformisées ne sont pas en mesure de proposer. Ceci peut prendre la forme d’horaires particuliers, de langues autres que le français ou d’organisations diverses comme les prises en charge dans la nature (éco-crèches). Les crèches privées contribuent ainsi à répondre à une demande croissante et variées en offrant plus de 700 places dans le Canton, démontrant depuis des décennies leur utilité, fournissant des prestations de qualité avec du personnel compétent et engagé !
+ de places en crèche avec la nouvelle loi
La loi soumise à votation rétablit la pratique qui a fonctionné jusqu’en 2022 : le respect des Conventions collectives de travail ainsi que du salaire minimum légal et son évolution vers le haut en fonction des lois du marché. C’est ainsi que fonctionnent tous les secteurs économiques du pays, en dehors du public.
Pourquoi voter OUI aux crèches le 9 juin ?
Dans les médias
« Le 9 juin prochain, il s’agit d’empêcher la fermeture de crèches non subventionnées »
Le Monde Économique